Investir dans les innovations pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. La France est en retard dans l’innovation énergétique et la pandémie de la Covid-19 a ralenti les investissements dans tout le développement de l’énergie propre. L’accord de Paris dépend des nouvelles technologies telles que les turbines au gaz naturel et à l’hydrogène, les chaudières de maison à l’hydrogène à condensation et à basse température, les nouveaux capteurs solaires « photovoltatronique » avec des cellules qui communiquent entre elles, les vitres photovoltaïques translucides qui absorbent certains rayons de soleil et les transforment en électricité, le plastique vert auto-destructible[1] etc. Beaucoup sont encore des prototypes ou en phase d’étude ou d’adoption précoce et attendent des investissements. L’État aujourd’hui a choisi d’investir 1.8 M€ dans la technologie quantique[2] ou dans les usines à batteries avec l’Allemagne de 5 à 6 Md€[3].
A SUIVRE
[1] https://www.lesechos.fr/2013/09/erik-orsenna-mise-sur-le-plastique-auto-destructible-de-carbios-1099041
[2] https://lexpansion.lexpress.fr/high-tech/technologie-quantique-l-etat-met-1-8-milliards-d-euros-sur-la-table_2143075.html
[3] https://www.actu-environnement.com/ae/news/airbus-batteries-electriques-france-allemagne-lancement-investissement-33380.php4